swanchika: (Default)
Le fil d'Ariane ([personal profile] swanchika) wrote2013-02-06 02:38 pm

Fire Emblem : Awakening - Soutiens - Zelcher & Stahl

Je hais celui qui a décidé que "Cherche" était un meilleur nom que "Serge" - même pour une femme. Quoi qu'il en soit, il faut faire avec en attendant de savoir si elle recevra un nouveau nom dans la version FR...
EDIT : Eh oui, elle a un nouveau nom. Et comme diraient les Anglais, Zelcher is a fucking awesome name. (Et cela ne fait que cimenter Zelcher/Stahl comme mon OTP du moment. Germanic names for the win !)

C

Stahl : Pfiou... C'est presque fini. Encore un panier et... Hmm ? A qui est cette cape ?

Zelcher : Bonjour, Stahl. C'est donc toi qui t'occupes de la lessive aujourd'hui.

Stahl : Oh, salut, Zelcher. Dis, tu sais à qui est cette cape ? Elle sent délicieusement bon !

Zelcher : Oh, elle est à moi. Je mets dessus un parfum spécial que je trouve apaisant. Ça m'aide à bien dormir, même quand il faut camper en pleine nature.

Stahl : *sniff* Bons dieux, je n'ai jamais rien senti de pareil !

Zelcher : C'est une odeur qui me rappelle chez moi. Pour moi, elle n'a rien de particulièrement rare.

Stahl : C'est intéressant de voir comment les choses changent d'une contrée à l'autre. Les odeurs, l'habillement, les goûts, les couleurs, les arts, les coutumes...

Zelcher : Avant que Valm soit unifiée sous le joug impérial, c'était un pays divisé en de multiples petits États. Les différences se voient toujours quand on va de village en village.

Stahl : Un jour alors, il faudra faire une tournée gastronomique là-bas ! Mais, hm, pour la cape ? L'odeur ne partira pas si je la lave ?

Zelcher : Si, mais ce n'est pas grave, je n'aurai qu'à remettre du parfum ensuite.

Stahl : Alors c'est parti pour le lavage !

Zelcher : Tu sais, les gens de certaines régions de Valm ont une façon particulière de laver les vêtements. Si cela t'intéresse, on pourrait faire la lessive ensemble et je te montrerai quelques techniques !

Stahl : Ah, je ne dis jamais non à un peu d'aide pour la lessive. Et puis tu pourras me parler des coutumes de Valm pendant ce temps !

Zelcher : Et en retour, tu pourras m'apprendre des choses sur Ylisse. Hm, en parlant de coutumes, c'est... ... Eh bien, chez moi, c'est très impoli d'aller renifler les habits d'une dame.

Stahl : Alors pourquoi y mets-tu une telle fragrance ? C'est comme un piège !

Zelcher : Eh oui, on dirait bien.

 

B

Stahl : Les tentes, c'est bon... La viande, c'est bon... Le petit bois... Ah. On commence à en manquer.

Zelcher : Il y a un problème ?

Stahl : Oh, salut, Zelcher. Non, aucun problème, ne t'en fais pas.

Zelcher : Vraiment ? Mais tu as l'air inquiet. Tu as les sourcils froncés et tout ça.

Stahl : Ah, ça, n'y fais pas attention. Mes sourcils se froncent assez facilement.

Zelcher : Ça doit t'attirer des ennuis, parfois ! Quoique, peut-être qu'en te voyant comme ça, les gens font plus attention à toi...

Stahl : Hah ! Je n'aurais jamais pensé que ça pourrait être un avantage.

Zelcher : Tu sais, j'ai l'impression qu'à chaque fois que je te vois dans le campement, tu es en train de t'occuper d'une corvée différente.

Stahl : Je me porte souvent volontaire pour ça. Sans doute parce que j'aime bien que tout soit... en ordre. Et puis je ne sais pas pour toi, mais je ne confierais pas vraiment mon linge à la première brute venue.

Zelcher : Eh bien, je trouve que c'est une bonne attitude. Tu as besoin d'aide ?

Stahl : En fait, j'allais justement ramasser du petit bois... Tu ne voudrais pas m'accompagner en forêt ? Avec toi, je serai plus rassuré si on tombe sur de vilaines choses en chemin.

Zelcher : Dans mon village, quand un garçon invite une fille à aller chercher du petit bois, ça veut dire qu'il est amoureux d'elle. Peut-être parce que le petit bois doit allumer les flammes de la passion dans le cœur de la fille ou quelque chose comme ça...

Stahl : Q-quoi ?! B-bonté divine, c'est vrai ? Je... je ne pensais pas du tout à ça, je t'assure ! Et entre nous soit dit, c'est un peu bizarre pour un premier rendez-vous.

Zelcher : Hé hé. Ne t'agite pas. Comment aurais-tu pu savoir ? Quoi qu'il en soit, je vais t'aider, et tu pourras me parler un peu plus de la culture d'Ylisse.

Stahl : Bonne idée !

 

A

Zelcher : Tiens, Stahl. C'est pour toi.

Stahl : Oh, quel beau mouchoir ! Merci. ... C'est toi qui l'as fait ?

Zelcher : Je voulais te donner quelque chose en échange de tout ce que tu m'as raconté sur Ylisse. Je ne suis pas très douée avec les travaux d'aiguille, mais c'est l'intention qui compte, non ?

Stahl : Je le trouve très bien ! Si je le voyais dans une boutique, je l'achèterais volontiers !

Zelcher : Merci, ça me fait plaisir à entendre. Tu m'as tellement apris sur la culture d'Ylisse que je suis assez impatiente d'y aller. En fait, quand cette guerre sera terminée, je prévois d'aller y faire un peu de tourisme.

Stahl : C'est drôle, parce que quand la paix viendra, je songeais à venir dans ton pays. Je veux aider à réunir les familles, à reconstruire les villes et les villages.

Zelcher : Tu es très généreux, mais c'est plutôt à moi de faire cela. Qui plus est, ton devoir sera d'aider la reconstruction d'Ylisse, non ?

Stahl : Oui, mais au moins, il faudra que je voie Valm. Après tout, on est allés chercher du petit bois ensemble.

Zelcher : Hah !

Stahl : Sérieusement, Zelcher, je te considère comme une bonne amie. Et depuis la dernière fois, j'ai étudié les traditions de ton pays. Ce mouchoir, c'est un cadeau qu'on se fait entre meilleurs amis, non ? Alors au diable Ylisse ! Tu sauras mieux la reconstruire que moi. Au lieu de ça, je m'emploierai à redresser le pays de ma chère et tendre amie Zelcher !

Zelcher : Oh, Stahl, c'est vraiment adorable. Mais je crois que tu t'es trompé. Dans la tradition, c'est un cadeau qui se fait entre meilleures amies... entre femmes, en somme. Si c'est un cadeau d'une femme à un homme, ça n'a pas de sens particulier. ... C'est juste un cadeau.

Stahl : O-oh, c'est vrai ? Oh, bon sang... Tu parles d'une humiliation... Pourquoi est-ce que je n'ai pas lu ce passage plus attentivement ?

Zelcher : Ce n'est rien. Je suis flattée que tu te sois renseigné sur les coutumes de mon pays. Et puis qu'importe que tu ne connaisses pas toutes nos traditions par cœur ? Tu es content d'être mon ami, et c'est tout ce qui importe. Et je serais heureuse de te considérer comme tel.

Stahl : J'aime bien cette perspective.

Zelcher : L'amitié est le meilleur moyen de nouer des liens entre cultures, tu ne crois pas ?

Stahl : Si, c'est tout à fait ça !

 

S

Stahl : Tu as un moment, Zelcher ?

Zelcher : Oui, qu'est-ce qu'il y a ?

Stahl : Je voulais encore m'excuser pour cette histoire de mouchoir.

Zelcher : Ne sois pas bête ! Un petit malentendu entre amis, ce n'est rien.

Stahl : Tu dirais que nous sommes de bons amis, n'est-ce pas ?

Zelcher : On dirait presque que tu es déçu. Ou est-ce que tu fronces encore les sourcils sans raison ?

Stahl : Tu as mis le doigt dessus, Zelcher. Je veux dire, je suis déçu.

Zelcher : Comment ça ?

Stahl : Zelcher, quand je suis avec toi, je veux plus que de l'amitié. La dernière fois, j'avais mal interprété ton cadeau, mais cette fois-ci, il n'y a pas d'erreur possible. Alors... tiens.

Zelcher : Tu m'offres une bague ?

Stahl : C'est une coutume ylissienne. Ça veut dire que je veux t'épouser.

Zelcher : Je sais. A Valm, nous avons la même coutume.

Stahl : Parfait, alors il ne peut pas y avoir de malentendu cette fois ! Je t'aime, Zelcher, pas seulement comme un ami. J'aimerais que nous soyons mari et femme, et peut-être même que nous fondions une famille. Je veux que mon foyer soit ton foyer, et je veux aider à reconstruire ton pays. Qu'en dis-tu, Zelcher ? Si nous construisions un futur ensemble ?

Zelcher : Tu as encore l'air inquiet.

Stahl : Euh, cette fois, j'essayais plus d'avoir l'air honnête et implorant...

Zelcher : Oui, je le vois maintenant. Implorant, c'est bien le mot. Mais tu es sûr de vouloir abandonner Ylisse et jeter l'ancre à Valm ? Quand le temps aura passé et la réalité aura repris ses droits, tu pourrais regretter ta décision.

Stahl : Cette alliance symbolise une promesse pour la vie. Je la tiendrai pour toujours.

Zelcher : Alors à mon tour de faire une promesse. Stahl, je t'aimerai et te chérirai pour le restant de mes jours.

Stahl : V-vraiment ? Oh, merci, Zelcher ! Tu ne le regretteras pas !

Zelcher : Je sais. Parce que si tu ne tiens pas ta promesse, je demanderai à Minerva de te gober tout cru.

Stahl : Oh, ciel ! C'est une autre coutume de Valm ? N'aie peur, mon amour. Je t'assure que- tu n'auras jamais à lui demander ça !

Cherche : Bien ! Alors c'est décidé.