swanchika: (Jerome)
Le fil d'Ariane ([personal profile] swanchika) wrote2013-02-05 02:00 pm

Fire Emblem : Awakening - Soutiens - Chrom & Frederick

Pour une fois, le titre est explicite. ... Mais non, pas dans ce sens, bande de pervers ! ... Ahem. Quoi qu'il en soit, quelques soutiens traduits à la va-vite pour vous faire patienter en attendant la version UE.

 

C

Frederick : J'ai terminé de faire le tour du campement, monseigneur. Tout semble être en ordre. Je n'ai trouvé aucune trace de l'ennemi. Nous devrions être en sécurité pour la nuit.

Chrom : C'est bon à savoir. Merci, Frederick.

Frederick : Durant ma ronde, j'ai pris la liberté d'inspecter notre équipement. J'ai apporté toutes les armes présentant une usure exceptionnelle devant votre tente. Il vous appartient de choisir s'il faut les vendre ou les faire réparer, monseigneur. Je vous recommande de décider vite.

Chrom : ... Oh. Eh bien, je vois que tu n'as pas chômé... Ton professionnalisme m'impressionnera toujours, Frederick. Par comparaison, j'ai presque l'impression de ne rien faire.

Frederick : Voyons, monseigneur. Je n'ai fait que mon devoir en tant que chevalier d'Ylisse. Oh, et je vous prie de m'excuser, mais j'ai remarqué que vos entraînements étaient toujours très bruyants. Prenant cela en compte, j'ai renforcé les tentes près de tous les espaces que vous êtes susceptible d'utiliser.

Chrom : Hem, je vois. Désolé de t'avoir donné du mal.

Frederick : Il n'y a pas de mal, monseigneur. Je suis toujours heureux de vous aider. ... En outre, les nuits se faisant plus froides dernièrement, je suis allé chercher des couvertures supplémentaires dans un village voisin. J'ai préparé un assortiment de couleurs afin que vous puissiez choisir celle qui vous va le mieux. Sauf votre respect, la couleur pêche est celle qui s'accorderait le mieux avec votre teint. Mais peut-être préfèreriez-vous du bleu. Juste au cas où ? Oui, c'est mieux. Va pour le bleu ! Tenez, monseigneur. Et en voici deux de rechange, par précaution.

Chrom : Frederick, tu ne te fatigues donc jamais ?

Frederick : Bien sûr que non, monseigneur. Je suis là pour vous servir. Ah, il y a autre chose : j'ai pris des mesures pour augmenter le nombre et le moral de nos troupes. J'ai commandé à un artisan des affiches portant votre noble image. Vous y figurez dans une pose audacieuse ; nu, avec une épée dans une main et une balance dans l'autre. Et à vos pieds, j'ai écrit notre nouveau slogan de recrutement : "Chrom a besoin de vous !" J'ai accroché une affiche dans chaque tente. Nos troupes devraient être ravies de se rallier derrière leur commandant, monseigneur.

Chrom : ... Attends. Tu as fait quoi ?! Dans quelle... Tu as accroché ces affiches... Dans CHAQUE tente ?!

Frederick : Inutile de mer remercier, monseigneur. Je ne faisais que mon devoir. Et c'est tout pour mon rapport. Reposez-vous bien, sire !

Chrom : F-Frederick ! Attends ! Il faut vraiment qu'on... parle. ... Oh, par les dieux. Il faut que j'arrache ses affiches avant que quelqu'un les voie !

 

B

Frederick : Toutes mes excuses, monseigneur. Si j'avais su que vous iriez de tente en tente pour déchirer ces affiches, je n'aurais jamais...

Chrom : Bon sang, je n'ai jamais été aussi gêné de ma vie ! Ma sœur a failli se claquer un muscle à force de rire ! Écoute, Frederick. Il faut qu'on parle. Je sais que tu ne demandes pas mieux que de me servir, et je t'en remercie. Mais c'est... eh bien parfois, tu vas un peu trop loin. Et d'autres fois, c'est carrément traumatisant ! Je suis un adulte, Frederick, et je peux très bien m'occuper de mes affaires.

Frederick : Jamais je ne douterais de vos capacités, monseigneur, mais j'ai des devoirs en tant que chevalier. S'il venait à vous arriver quelque chose, je ne pourrais pas... je ne sais si je pourrais le supporter.

Chrom : Mais est-ce que tu vois la différence entre être un chevalier et être une nounou ?

Frederick : ... Mes excuses, monseigneur, mais je préfère vous causer de la gêne plutôt que de négliger mon devoir.

Chrom : ... Très bien ! Très bien. On réessaye. Mettons que tu es un noble sire et que je suis ton dévoué chevalier. Maintenant, disons que tu éternues. Tu vois, rien qu'un petit éternuement... Et soudain, j'arrive en trombe avec une théière dans une main et une petite laine dans l'autre ! Ou, imaginons que tu dises, comme ça, que tu n'as pas mangé de poisson depuis un moment et que ça te manque... Et là, je traverse deux montagnes pour trouver une rivière gelée et y pêcher notre dîner ! Ou, pire encore, imagine que tu aies l'air fatigué, ou peut-être même que tu laisses échapper un bâillement... Et dans l'heure, je t'amène toutes sortes de décoctions d'herbes plus bizarres les unes que les autres ! Alors, qu'est-ce que tu penserais de tout ça ?

Frederick : Monseigneur, je... je me sentirais furieux. Et humilié.

Chrom : Tu vois ? Il y a un moment où ce genre d'aide devient un fardeau. Je respecte ton professionnalisme de chevalier, mais tu dois rester dans les limites du raisonnable ! Tu dépenses trop de temps et d'énergie à t'occuper de ma sœur et de moi, et vraiment, ça ne nous fait pas plaisir. Si tu veux nous rendre heureux, prends un peu de temps pour toi. Détends-toi ! Profite de la vie !

Frederick : ... Est-ce un ordre, sire ?

Chrom : *soupir* Si c'en était un, je sais que tu y obéirais sans discuter. Mais tout le raisonnement tomberait à l'eau. Ce n'est pas un ordre, Frederick. C'est une demande. ... D'ami à ami.

Frederick : Monseigneur... Fort bien. Si tel est votre souhait, je limiterai mes actions au minimum vital. Veuillez m'excuser pour tous les ennuis que j'ai pu vous causer.

Chrom : Merci... merci pour tout.

Frederick : C'est un plaisir de vous servir, monseigneur. Hm, enfin... dans les limites du raisonnable.

 

A

Frederick : ... Et voici pour le rapport d'aujourd'hui, monseigneur.

Chrom : Bien. Merci, Frederick.

Frederick : *soupir*

Chrom : Voilà qui ne te ressemble guère. Tout va bien, Frederick ?

Frederick : Oh ! M-mes excuses, sire !

Chrom : Ce n'est pas grave, mais enfin, est-ce que tout va vraiment bien ? J'espère que tu n'es pas en train de nous couver quelque chose ?

Frederick : Pas du tout, monseigneur. Je suis un modèle de santé.

Chrom : Alors pourquoi as-tu l'air si fatigué ces derniers temps ? Ce matin, tu étais blanc comme un linge ! J'ai cru qu'un Revenant était entré dans notre campement. Les autres Bergers s'inquiètent autant que moi. As-tu un problème ?

Frederick : Monseigneur, je vous dois encore des excuses. C'est juste que... Vous voyez... j'ai le sentiment de vous avoir été inutile dernièrement.

Chrom : Hmm ? Qu'est-ce que tu marmonnes ?

Frederick : R-rien, monseigneur ! Ce n'est rien. J'ai peut-être juste besoin de dormir un peu.

Chrom : Alors vas-y ! Et si quelque chose te dérange, viens me le dire tout de suite. Oh, et avant que tu partes... Merci d'avoir réparé nos toiles de tentes. Je dors beaucoup mieux sans ce maudit courant d'air.

Frederick : Mais monseigneur, je... Comment l'avez-vous su ?

Chrom : Après une longue journée de batailles, qui aurait encore assez d'énergie pour s'occuper de ce genre de détail ? Encore une fois, mon ami, merci. Au nom de tout le monde. Il y a des jours où j'ai le sentiment que toute cette armée s'effondrerait si tu n'étais pas là.

Frederick : Monseigneur, je... je ne sais que dire. C'est un immense honneur que vous me faites !

Chrom : Ha ha ! Ce n'est que la vérité, Frederick. C'est tout. Maintenant, si tu veux bien m'excuser, je dois aller parler à Robin.

Frederick : Oui, bien sûr. La tente de Robin est... par ici, n'est-ce pas ? Je m'y mets tout de suite, monseigneur !

Chrom : Tu te mets à... Hé, tu es en train d'enlever les graviers ?! Frederick, mais enfin, qu'est-ce que tu fais ?!

Frederick : Je ne veux pas que vous trébuchiez et que vous vous fassiez mal, sire ! Vous voyez, j'imagine... ... Ah ! Vous avez peur de trébucher sur moi, c'est cela ? Bien sûr. Ne vous inquiétez pas, sire ! J'ai une technique qui me permettra de toujours garder de l'avance sur vous.

Chrom : Hm... Frederick ?

Frederick : Y a-t-il un problème, monseigneur ? Ah, bien sûr ! Ces mauvaises herbes sont aussi dangereuses. Je n'ai qu'à les arracher...

Chrom : ... Ce n'est pas ce que je voulais dire.

Frederick : Quelle négligence de ma part, sire ! Je déracinerai ces plantes diaboliques en un instant.

Chrom : Oh, bon sang...

Frederick : La voie est dégagée, sire ! Vous pouvez traverser le campement sans délai ni souci !

Frederick s'en va

Chrom : Enfin, si ça lui fait plaisir...

Frederick : *off-screen* Qu'avez-vous dit, monseigneur ?

Chrom : Heu... Frederick ?! Pour l'amour du ciel, je dois aller voir Robin !

Frederick : Oh, oui, il/elle est là. Bonjour, Robin. Veuillez excuser cette intrusion.

Chrom : Frederick ! On n'a pas besoin que tu... Tu pourras faire la poussière plus tard ! Et en fait, tu n'as pas besoin d'épousseter Robin, Frederick ! ... FREDERICK !

 




Post a comment in response:

This account has disabled anonymous posting.
If you don't have an account you can create one now.
No Subject Icon Selected
More info about formatting